Profils de nos experts

 

 Susanne Alldén

Qu’est-ce qui est le plus important à savoir sur moi ? Je veux avoir l’esprit ouvert à tout moment. Sur le plan professionnel, je cherche systématiquement à combler le fossé entre la politique, la pratique et la recherche ; je crois sincèrement que chaque discipline peut apprendre de l’autre. Je cherche à en apprendre toujours plus, et en particulier sur les choses que je pense connaître le mieux.

Formation et soutien institutionnel

Développement de stratégies – Gestion du cycle de projet – Analyses de genre – Analyses de conflit – Suivi et évaluation

Formation et éducation

Transformation des conflits – Méthodes de recherche qualitatives et quantitatives – Genre et conflit/paix

Résolution des conflits

Les femmes – La paix et la sécurité 

Démocratie

La participation politique des femmes dans des contextes (post-)conflict

 Susanne Alldén

Qu’est-ce qui est le plus important à savoir sur moi ? Je veux avoir l’esprit ouvert à tout moment. Sur le plan professionnel, je cherche systématiquement à combler le fossé entre la politique, la pratique et la recherche ; je crois sincèrement que chaque discipline peut apprendre de l’autre. Je cherche à en apprendre toujours plus, et en particulier sur les choses que je pense connaître le mieux.

Formation et soutien institutionnel

Développement de stratégies – Gestion du cycle de projet – Analyses de genre – Analyses de conflit – Suivi et évaluation

Formation et éducation

Transformation des conflits – Méthodes de recherche qualitatives et quantitatives – Genre et conflit/paix

Résolution de conflit

Les femmes – La paix et la sécurité

Démocratie

La participation politique des femmes dans des contextes (post-)conflict

Susanne et son parcours professionnel

Après avoir terminé mon doctorat en sciences politiques, j’ai décidé que j’avais besoin de faire une pause dans le monde universitaire et d’apprendre du “monde réel”. Après avoir passé 5 ans à voyager entre le Cambodge, le Timor-Leste et le nord de la Suède pour mes recherches, j’ai ensuite accepté un contrat de 6 mois en tant que personnel civil détaché auprès de la mission des Nations unies en RD Congo, la MONUC/MONUSCO. En visitant la campagne du Sud-Kivu et en tombant amoureux des gens et des environs, j’ai su que la RDC jouerait toujours un rôle important dans ma vie. J’ai donc essayé, pendant les dix années qui ont suivi, d’en apprendre davantage sur le pays, les gens et les luttes qu’ils avaient endurées (et continuent d’endurer), mais aussi sur les innombrables histoires de résilience et d’espoir pour l’avenir. Grâce à mon expérience au sein des Nations Unies, de l’UE et de la Coopération suédoise au développement, ainsi qu’au sein d’une ONG locale et à de la recherche, ma compréhension de la complexité des conflits, mais aussi de l’importance de la transformation des conflits par la base et des efforts pour lutter contre les terribles conséquences de la guerre, s’est considérablement approfondie. J’ai également eu la grande chance de travailler aux côtés de remarquables acteurs du changement au niveau local, hommes et femmes, qui sont selon moi les principaux catalyseurs du maintien de la paix et du développement. Certaines de mes plus fortes expériences de la RDC ont été de travailler avec et d’apprendre des jeunes congolais, cherchant à jouer un rôle positif pour le changement de leur société.

Actuellement basée au sud de la Suède, je continue à travailler dans la formation de la prochaine génération de bâtisseurs de la paix, en aidant à faire entendre la voix des femmes et de leur rôle dans la transformation des conflits et la politique. Je porte également un intérêt particulier à rendre l’aide au développement plus pertinente pour la population cible, en plaidant continuellement pour la nécessité d’analyses de genre et d’analyses locales des conflits pour guider toute intervention.

Je parle couramment l’anglais et le français et j’espère qu’un jour je parlerai le Swahili sans faute!

Susanne et son parcours professionnel

Après avoir terminé mon doctorat en sciences politiques, j’ai décidé que j’avais besoin de faire une pause dans le monde universitaire et d’apprendre du “monde réel”. Après avoir passé 5 ans à voyager entre le Cambodge, le Timor-Leste et le nord de la Suède pour mes recherches, j’ai ensuite accepté un contrat de 6 mois en tant que personnel civil détaché auprès de la mission des Nations unies en RD Congo, la MONUC/MONUSCO. En visitant la campagne du Sud-Kivu et en tombant amoureux des gens et des environs, j’ai su que la RDC jouerait toujours un rôle important dans ma vie. J’ai donc essayé, pendant les dix années qui ont suivi, d’en apprendre davantage sur le pays, les gens et les luttes qu’ils avaient endurées (et continuent d’endurer), mais aussi sur les innombrables histoires de résilience et d’espoir pour l’avenir. Grâce à mon expérience au sein des Nations Unies, de l’UE et de la Coopération suédoise au développement, ainsi qu’au sein d’une ONG locale et à de la recherche, ma compréhension de la complexité des conflits, mais aussi de l’importance de la transformation des conflits par la base et des efforts pour lutter contre les terribles conséquences de la guerre, s’est considérablement approfondie. J’ai également eu la grande chance de travailler aux côtés de remarquables acteurs du changement au niveau local, hommes et femmes, qui sont selon moi les principaux catalyseurs du maintien de la paix et du développement. Certaines de mes plus fortes expériences de la RDC ont été de travailler avec et d’apprendre des jeunes congolais, cherchant à jouer un rôle positif pour le changement de leur société.  

Actuellement basée au sud de la Suède, je continue à travailler dans la formation de la prochaine génération de bâtisseurs de la paix, en aidant à faire entendre la voix des femmes et de leur rôle dans la transformation des conflits et la politique. Je porte également un intérêt particulier à rendre l’aide au développement plus pertinente pour la population cible, en plaidant continuellement pour la nécessité d’analyses de genre et d’analyses locales des conflits pour guider toute intervention.

Je parle couramment l’anglais et le français et j’espère qu’un jour je parlerai le Swahili sans faute!